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HISTOIRE DE L’AFFAIRE DREYFUS

l’attitude de Dreyfus, 186. — Accusé à tort d’être l’auteur de la lettre à la Libre Parole signée Henry, 193. — Fait faire à Dreyfus une copie du bordereau ; son rapport à Mercier à ce sujet, 194. — Sa note sur les dénégations de Dreyfus et les inconvénients diplomatiques d’un procès, VI, appendice, 512-513. — Procède au dernier interrogatoire de Dreyfus et l’invite à faire des aveux, I, 197. — Date à laquelle Dreyfus lui a dit : « On m’a volé mon écriture », appendice, 591-592. — Son rapport charge Dreyfus, mais ne conclut pas à des poursuites, 199 et note 2 ; analyse de ce rapport, 200-204. — Autorise Mme Dreyfus à prévenir les frères de son mari, 209. — Son entretien avec Mathieu Dreyfus chez Mme Dreyfus, 210-212. — Sandherr lui communique la dépêche du 2 novembre et deux déchiffrements de cette dépêche, 248, note 3. — S’immisce dans la procédure de D’Ormescheville, 257-258, 286. — Ses inquiétudes touchant l’issue de l’instruction, 263. — Conseille à D’Ormescheville d’entendre Fabre et D’Aboville, 264. — Chargé de rédiger avec Sandherr le commentaire du dossier secret, 276. — Ses inventions sur la manière dont Dreyfus aurait touché le prix du bordereau, 288. — Sens qu’il attribue au mot « manœuvres » dans le bordereau, 290. — A fait partie de la commission qui a préparé la campagne de Madagascar ; note rédigée par cette commission, 298 ; II, 193, note 2, 194. — Fait examiner par Bertillon les lettres adressées à Dreyfus, I, 300. — Participe à la rédaction du rapport de D’Ormescheville, 311. — Termine le commentaire du dossier secret. 351. — Analyse du commentaire : le memento de Schwarzkoppen, 352-353 ; la lettre de Panizzardi à Schwarzkoppen de décembre 1893, 353-354 ; la pièce « Canaille de D… », 355-357 ; le bordereau, 357 ; la dépêche du 2 novembre et les déclarations de Val-Carlos, 358. — Remet le commentaire à Sandherr, 359. — Est cité au procès comme témoin à charge, 389. — Sa déposition, 405-409, 413. — Ses interventions au cours des débats, 415, 423. — Remet à Maurel le dossier secret, 429-431 ; le reprend à l’issue du procès pour le restituer à Sandherr, 450. — Son commentaire a-t-il été communiqué aux juges ? appendice, 603-611. — Autorisé à voir Dreyfus pour essayer d’en obtenir des aveux, 479-480. — S’entretient avec lui au Cherche-Midi, 481-482. — Lui promet de demander à Mercier la continuation des recherches, 483. — Dit que Dreyfus, s’il est innocent, est « le plus grand des martyrs », 484. — Rend compte de son entretien à Mercier, 485. — Son rapport écrit, 486. — Analyse de ce rapport ; a-t-il posé à Dreyfus la « question de l’amorçage » ? appendice, 620-625. — Se rencontre avec Schwarzkoppen chez Mme D’Orval, 541. — Jugement porté sur lui par Schwarzkoppen, qui le considère comme l’auteur responsable de l’erreur judiciaire, 542. — Reçoit une lettre de Dreyfus lui rappelant sa promesse de faire rechercher d’autres coupables, II, 143. — Réflexion qu’il fait sur le verdict de 1894, 211. — Cherche des arguments dans un mémento de Schwarzkoppen sur l’artillerie lourde, 223. — Ses relations avec D’Orval, qu’il fait signaler à la Sûreté, 224-225. — Attribue à Mathieu Dreyfus l’écriture d’Esterhazy, 291. — Mépris que Picquart lui témoigne après qu’il a pris connaissance du dossier secret, 294-295. — Affirme à Picquart que Mathieu Dreyfus veut substituer un homme de paille à son frère, 325. — Absent de Paris lors de la publication de l’article : Le Traître dans l’Éclair, 368. — Soupçonné par Picquart : d’avoir inspiré cet