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HISTOIRE DE L’AFFAIRE DREYFUS

triotes invitant les Parisiens à protester devant le Palais-Bourbon (22 octobre 1898), 330 et note 4. — Provoque l’intervention de Chanoine à la tribune de la Chambre (séance du 25 octobre 1898), 334-335. — Entretient Félix Faure de la nécessité d’un coup d’État, 351. — Fait placarder une affiche contre la revision, 416. — Assailli au cours des désordres de la salle Chaynes, 426. — Ses intrigues auprès des généraux, 427. — Son altercation avec Antide Boyer à la suite de l’interpellation Grousset (séance du 12 décembre 1898), 461-462, note 3. — Verse 1.000 francs pour l’affichage du discours de Jules Lemaître (fondation de la Ligue de la Patrie française), 505, note 2. — Décline une entrevue avec le duc d’Orléans (février 1899), 659 et note 4. — S’abstient de voter à l’Assemblée nationale, 565. — Harangue qu’il prononce sur la place des Pyramides, le jour de l’élection de Loubet, 568-570. — Prépare un coup de force pour le jour des obsèques de Félix Faure, 571-580 ; arrête avec Marcel Habert le plan de l’opération ; démarche de Castellane auprès de lui, 588 et note 4. — Journée du 23 février 1899 : il attend Pellieux place de la Nation, 596 ; essaie d’entraîner Roget à l’Élysée, 600-604 ; pénètre à sa suite dans la caserne de Reuilly, refuse d’en sortir ; son arrestation, 605-612 ; inculpation dont il est l’objet, 613-614 ; ses déclarations à l’instruction Pasques, V, 3-5 ; son procès en cour d’assises, 87-90 ; son acquittement, 91. — Prépare un nouveau complot ; le « triumvirat », 182-184 ; ses intrigues avec les royalistes, 251-255. — Manifestations dont il est l’objet à la revue de Longchamp et place de la Concorde (14 juillet 1899), 256-257. — Ses discours sur le procès de Rennes et le bordereau annoté, 258-259 ; projette de faire son coup de force soit le jour de la déposition de Mercier, soit le jour du verdict, 261-262, 308. — Son arrestation, 311 ; déféré à la Haute-Cour, refuse de répondre à la commission d’instruction, VI, 31-32. — Ses déclarations à l’audience, 60-61 ; son intervention lors de l’interrogatoire de Marcel Habert ; il est expulsé et condamné séance tenante à deux ans de prison, 63-64. — Sa condamnation à dix ans de bannissement, 65. — Félicite Syveton d’avoir souffleté André, 420 et note 2.

Derrécagaix, député. Son discours à la distribution des prix du lycée de Bayonne (juillet 1898), IV, 130.

Dervieu, capitaine. Entendu par D’Ormescheville ; son opinion sur Dreyfus, I, 266, note 1 ; 296-297. — Sa déposition au procès de Rennes, V, 389-390, note 1.

Déry (Mme). Ses relations avec Dreyfus et Gendron, I, 203-204 ; 317. — Mise en cause par Castelin dans son interpellation (séance du 18 novembre 1896), II, 450 et note 4.

Desachy (Paul), rédacteur aux « Droits de l’Homme », IV, 146, note 2.

Descaves (Lucien), homme de lettres. Ses articles dans l’Aurore, II, 637, note 3.

Deschanel (Émile), sénateur. Vote contre la loi de dessaisissement, V, 21 et note 4. — Vote l’amendement Bernard, 22, note 3. — Vote contre le projet de loi sur l’amnistie, VI, 127-128.

Deschanel (Paul), député. — Son intervention lors de l’interpellation Castelin (séance du 18 novembre 1896), II, 452. — Élu président de la Chambre contre Brisson (juin 1898), III, 627, 629. — Consulté par Dupuy pendant