Page:Joseph Reinach - Histoire de l’Affaire Dreyfus, Eugène Fasquelle, 1911, Tome 7.djvu/63

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
55
INDEX GÉNÉRAL

pour hâter le vote de l’amnistie, V, 563.

Coffinières, commandant du « Sfax ». Son impression sur Dreyfus, V, 197-198, note 3.

Colard, officier. Entendu par D’Ormescheville ; son opinion sur Dreyfus, I, 265. — Sa déposition au procès de 1894, 414.

Colbert-Laplace (de) député. Souscrit aux listes rouges, IV, 441.

Colin (Michel). Voir Stapfer (Paul).

Collin de Verdière. Avocat de Rollin dans le procès Dautriche, VI, 385, note 1.

Combe, colonel. Sa lettre au sujet de François Zola, III, 606 et note 2, appendice, 649. — Une lettre de lui est falsifiée, 650.

Combel (Abbé), curé de Suresnes. Récite les prières sur le cercueil d’Henry, IV, 221.

Combes (Émile), sénateur. Ministre de l’Instruction publique dans le cabinet Bourgeois (novembre 1895), II, 181, note 3. — Vote contre la loi de dessaisissement, V, 21, note 4. — Chargé par Loubet de constituer un ministère (juin 1902), VI, 189. — Son portrait, sa carrière, 190 ; président du Conseil et ministre de l’Intérieur, 191, note 2. — Jaurès l’avertit de son intention de porter l’Affaire à la tribune de la Chambre, 217. — Son attitude à la séance du 7 avril 1903 : l’enquête administrative, 242-246. — Reçoit le rapport d’André sur l’Affaire ; transmet ce rapport à Vallé, 281. — S’oppose à l’avancement de Ducassé, 344, note 3 ; incident Cuignet-André, 389-390. — Averti par Waldeck-Rousseau du système de délation employé par André, 399. — Popularité que lui vaut sa lutte contre les congrégations, 401. — Son attitude lors des interpellations Guyot de Villeneuve (séances des 28 octobre et 4 novembre 1904), 403-407 ; 413-419. — Reçoit la démission d’André, 421. — Sa politique blâmée par Waldeck-Rousseau, 425. — Sa démission, 423.

Combes, ancien président du cercle des Capucines. Interrogé par Lépine au cours de l’enquête, sur Dreyfus, I, 261, note 1.

Comminges (de), capitaine. Refuse de déposer au procès Zola, III, 365, note 1.

Comminges (Comtesse Blanche de). Ses relations avec Picquart, II, 457. — Démêlés de sa famille avec Du Paty, 641. — Les lettres que lui adresse Picquart sont interceptées par Henry, 666 et note 2. — Le faux Blanche destiné à la compromettre, 669-670 ; III, 82, 90. — Esterhazy déclare ne pas la connaître, 173. — Déclaration, de Du Paty à son sujet au procès Zola, 364. — Refuse de déposer à ce procès, 365, note 1. — Accuse Du Paty d’être l’auteur des faux Blanche et Speranza, 523-524.

Constans, sénateur. Consulté par Dupuy pendant la crise ministérielle qui suit la chute de Brisson, IV, 354. — Dépose une proposition rendant la loi sur l’instruction criminelle applicable devant les tribunaux militaires, 382. — S’abstient dans le vote sur la loi de dessaisissement, V, 21. — Candidat contre Fallières à la présidence du Sénat, il obtient 84 voix, 23, note 1.

Constans (Paul), député. Signe la proposition Vaillant réclamant une enquête sur les Conseils de guerre (séance du 8 avril 1903), VI, 243.

Constant (Mme). Rédactrice à : la Fronde, sous le pseudonyme de « Bradamante », III, 195, note, 4