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INDEX GÉNÉRAL

dont Picquart est l’objet, 318. — Refuse de remettre à Manau le dossier secret, 322. — Sollicité par Brisson de lever la mise au secret de Picquart, 326, note 2. — Nomme Roget au commandement d’une brigade à Paris, 327. — Refuse de porter plainte contre certains journaux, 327. — Décide de donner sa démission ; Guérin en est informé, 328 et note 4. — Son attitude au Conseil des ministres du 25 octobre 1898, 333. — Donne sa démission à la séance de la Chambre (même date), 335-338. — Sa déposition devant la Chambre criminelle (revision du procès de 1894), 369 ; à la seconde enquête Mazeau, 508 ; au procès de Rennes, V, 377.

Chanoine, capitaine, fils du précédent. Chargé avec Voulet d’une mission dans la région du Niger, V, 427. — Atrocités dont il se rend coupable, 428. — Poursuivi par le colonel Klobb, 429-430 ; apprend le meurtre de Klobb ; propos qu’il tient à Voulet, 431. — Massacré par les tirailleurs soudanais, 432.

Chanteloube, agitateur antisémite. Arrêté avec Guérin au cours des bagarres du 25 octobre 1898 devant le Palais-Bourbon, IV, 337, note 3. — Compagnon de Guérin au « fort Chabrol », V, 423 et note 4.

Chanzy (Mme), veuve du général. Dépose une plainte en escroquerie contre Lemercier-Picard, IV, 98, note 3.

Chapelon (Mme). Tient de Lebrun-Renaud que Dreyfus n’a pas fait d’aveux, I, 516, note 1. — Sa déposition devant la Chambre criminelle (novembre 1898), IV, 451.

Chaplin, lieutenant d’artillerie. Frappé par Billot pour avoir adressé à Zola une lettre de félicitation, III, 492.

Chapuis, député de Toul. Son attitude lors des incidents soulevés à la Chambre par le discours de Jaurès sur l’Affaire (séance du 22 janvier 1898), III, 310. — Réclame des poursuites contre le Syndicat, 489. — Vote la loi de dessaisissement, IV, 545. — Vote l’ajournement de la mise en accusation de Mercier, V, 133, note 3. — Son opinion sur le cabinet Waldeck-Rousseau, 178, note 1. — Fait voter une motion invitant le Gouvernement à s’opposer à la reprise de l’Affaire (séance du 22 mai 1900), VI, 113-115 ; autre motion invitant le Gouvernement « à ne pas laisser sortir l’Affaire du domaine judiciaire » (séance du 7 avril 1903), 245-246.

Chapus. Son procès est rappelé au cours de l’entretien de Tornielli avec Hanotaux, III, 51-52.

Charavay (Étienne), expert judiciaire. Examine le bordereau et les pièces de comparaison, I, 179. — Influence des théories de Bertillon sur son expertise, 182-183. — Conclut à l’identité de l’écriture du bordereau avec celle des pièces de comparaison, 184. — Sa déposition au procès de 1894, 422. — Charge par Pellieux d’examiner la lettre du Uhlan, III, 177. — Refuse d’expertiser à nouveau le bordereau (instruction Ravary), 177. — Ses conclusions sur la lettre du Uhlan ; admet la possibilité d’un faux, 188. — N’est pas entendu au procès Esterhazy, 213. — Sa déposition au procès Zola, 415. — Chargé par Tavernier de faire l’expertise du « petit bleu » ; son rapport, II. 461, note 2, IV, 377-378. — Sa déposition devant la Chambre criminelle (revision du procès de 1894), 514-515. — Reconnaît son erreur de 1894,
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