Page:Joseph Reinach - Histoire de l’Affaire Dreyfus, Eugène Fasquelle, 1911, Tome 7.djvu/44

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
36
HISTOIRE DE L’AFFAIRE DREYFUS

Brissaud, docteur en médecine. Appelé auprès de Labori blessé, V, 349, 351 ; son rapport médical, 366, note 1.

Brisset, commandant. Commissaire du gouvernement au procès de 1894, demande le huis-clos, I, 389. — Son attitude pendant les débats, 396-397 ; 403-404 ; 413-415. — Soulève un incident lors de la déposition de Gobert, 423. — Avoue n’avoir pas compris la démonstration de Bertillon sur le bordereau, 427. — Son réquisitoire, 431. — Sa réplique à Demange : il déclare que le bordereau est la principale charge retenue contre Dreyfus, 436.

Brisson (Henri), député. Se déclare contre Mercier dans l’affaire Mirman, I, 198. — Président de la Chambre, rappelle Jaurès à l’ordre lors de la discussion du projet de loi sur la trahison, 476. — Candidat à la présidence de la République, 559 ; arrive en tête au premier tour de scrutin ; battu par Félix Faure au second, 560. — Son attitude lors de l’interpellation Castelin, II, 449 ; lors de la déclaration de Billot à la Chambre (16 novembre 1897), III, 5. — Croit Dreyfus coupable, 35. — Réélu président de la Chambre ; son discours à la séance du 13 janvier 1898, 232-233. — Prend la défense de Billot, 235, 388. — Sa lettre à Scheurer-Kestner, 239. — Son discours au Grand-Orient (31 janvier 1898), 328-329. — Son discours à la dernière séance de la Chambre avant les élections de 1898, 569 ; son rôle pendant les élections, 579-580. — Remplacé par Deschanel à la présidence de la Chambre, 627. — Contribue à la chute de Méline, 629-631. — Constitue le ministère et prend le porte-feuille de l’Intérieur (30 juin 1898), 633 ; sa déclaration, 633-634. — Prend connaissance du dossier secret, IV, 16. — S’associe au discours de Cavaignac ; demande que l’affichage en soit voté par tous les partis, 27. — Reçoit de Picquart une lettre dénonçant les faux du dossier secret, 34 ; transmet cette lettre à Cavaignac, 35, note 1 ; ses hésitations, 39. — Bertulus lui demande audience, 40 ; sa réponse, 41. — Approuve l’arrestation de Picquart, 46 ; inquiétudes que lui donne la tournure des événements, 52 ; tombe malade, 53. — Lettre que lui adresse Zola, III, 252, note 1 ; IV, 54. — Laissé par Cavaignac dans l’ignorance des agissements de Du Paty, 68-69. — Maintient Picquart en prison, 116. — Refuse de souscrire au projet de Cavaignac tendant à déférer les principaux revisionnistes à la Haute-Cour, 125. — Approuve diverses mesures contre les défenseurs de Dreyfus, 126. — Remplace Lépine par Laferrière au gouvernement de l’Algérie, 128. — Demande à Cavaignac d’interroger Mercier au sujet de la communication secrète, 141. — Ignore les lettres de Dreyfus à Félix Faure et à Boisdeffre, 144. — Le Rêve de Brisson, article de Joseph Reinach, 145-146. — Opinions contradictoires des revisionnistes sur son compte, 146-147. — Cavaignac le laisse dans l’ignorance de la découverte du faux Henry par Cuignet, 159. — N’en est informé par Cavaignac qu’après les aveux d’Henry, 199-201. — Propose au cabinet le renouvellement de l’État-Major et la revision, 202. — Préside deux Conseils de ministres (31 août 1898), 202. — Manifeste l’intention de donner sa démission, 206. — Apprend le suicide d’Henry, 215-216 ; sa conversation à ce sujet avec Cavaignac, 217-218 ; recommandations qu’il lui adresse, 219-220 ; ses atermoiements, 228-230. — Acquis à la revision, il envoie un délégué à Mathieu Dreyfus, 234. — Offre la présidence du Conseil à Cavaignac s’il consent