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HISTOIRE DE L’AFFAIRE DREYFUS

Dreyfus, 101. — Prête son cabinet pour la scène de la dictée, 106. — Affirme à Cochefert que Dreyfus a été l’objet d’une longue enquête, 125. — Paraît se désintéresser de l’Affaire, 145, 185. — Son entretien avec Forzinetti au sujet de Dreyfus, 188. — Fait visiter Dreyfus par un médecin, 189-190. — Ménagé par la Libre Parole, 241. — Sandherr lui communique la dépêche Panizzardi et les déchiffrements successifs qui en ont été faits, 247-250. — Partage les inquiétudes de Mercier sur l’issue du procès, 263. — Reçoit de Sandherr le dossier Dreyfus, 269. — Sa carrière, son portrait, ses relations avec Mercier, 270-271, 278. — Étudie le dossier, 272-273. — Envoyé comme ambassadeur extraordinaire aux obsèques du tsar Alexandre, 271, note 1, 275. — Son retour à Paris, 282. — Aurait affirmé que Dreyfus est nommé dans une note de Guillaume II à Munster, 349, II, 636. — Serait le seul Français qui ait reçu de l’Empereur une lettre autographe, I, 351. — Assiste à la mise sous pli des pièces du dossier secret, 364, appendice, 602-603. — Intention qu’on lui prête de démissionner si Dreyfus est acquitté, 380. — Son entretien avec Maurel au sujet du huis-clos, 382. — N’est pas cité comme témoin au procès de 1894, 403-404. — Aurait, selon Esterhazy, montré la pièce « Canaille de D… » à Maurel avant le jugement, II, 685. — Prévenu par Picquart de l’acquittement possible de Dreyfus, I, 411-412, 416. — Apprend le verdict, 450. — Le dossier secret est conservé à son insu, 452 et note 1. — Popularité que lui vaut la condamnation de Dreyfus, 467. — Informé des prétendus aveux de Dreyfus, s’en entretient avec Mercier, 518-520. — Chargé de rechercher l’officier qui aurait reçu les aveux, 526-528. — Son rôle pendant la prétendue « nuit tragique », 545-546, 548, appendice, 631-632. — Rapport que lui aurait remis Gonse au sujet des aveux le 6 janvier 1895, 547, appendice, 630-631. — Silence qu’il gardera, dans ses dépositions, sur l’attribution de la pièce « Canaille de D… » à Dreyfus, 578 ; sur la réunion où fut décidée l’arrestation de Dreyfus, 586. — Dénature le caractère de la visite de Du Paty à Dreyfus, 631. — Sa parenté éloignée avec Esterhazy, II, 77. — Influence qu’il exerce sur les différents ministres de la Guerre, 201. — Envoyé comme ambassadeur extraordinaire au sacre de l’empereur Nicolas II, 201-202. — Offre à Picquart la succession de Sandherr au bureau des Renseignements, 203, 206-207. — Triomphe des résistances de Picquart et le nomme chef du bureau, 211-213. — Fait surveiller Dorval par Picquart, 225. — Se félicite d’avoir mis Picquart à la tête du bureau des Renseignements, 231. — Laissé par Picquart dans l’ignorance de la première enquête sur le petit bleu, 247. — Lettre qu’il reçoit de Foucault à propos d’une visite de Richard Cuers, 267. — Picquart l’informe de ses soupçons sur Esterhazy, 270, 281-282. — Ses entretiens avec Picquart, 286, appendice, 699-701. — Mis par Picquart au courant des démarches de Weil en faveur d’Esterhazy, 288-289. — Picquart lui fait connaître les preuves de la culpabilité d’Esterhazy, 296. — Envoie Picquart chez Gonse, 297-300. — Fait racheter un article de Possien sur Dreyfus, 332. — Autorise Picquart à exposer l’affaire Esterhazy à Billot, 333. — Reproche à Picquart, d’avoir montré le dossier secret à Billot, 341, 356. — Confère avec Billot, 341. — Part pour les grandes manœuvres, 348. — Refuse de poursuivre l’Éclair à cause de l’article : Le Traître, et de