Page 217, note 4. — Après : 386, ajouter : Picquart. — Après : rien, ajouter : III, 320, Weill.
Page 221, avant-dernière ligne. — Au lieu de : franco-russes, lire : français et russes.
Page 221, note 2. — Après : (2), lire : Cass., V, 163.
Page 221, note 2, ligne 3. — Au lieu de : Generalsatbs, lire : Generalstabs.
Page 221, note 2, ligne 4. — Au lieu de : dass, lire : das.
Page 223, note 5, ligne 4. — Au lieu de : 1° la note de Bayle, mort depuis, n’a pas été retrouvée, lire : 1° la note de Bayle, dont la prétendue disparition fut attribuée par Henry à Dreyfus, fut retrouvée en 1903 par le lieutenant-colonel Fournier et le capitaine Hallouin (voir t. VI, 271).
Page 237, note 2. — Au lieu de : 1895, lire : 1896.
Page 242, dernière ligne. — Après : vu, ajouter : de sa mère.
Page 243, note 3. — Modifier la note comme suit : Roget dira à Rennes (I, 278) qu’il a « eu entre les mains une correspondance tout à fait intime de Schwarzkoppen, compromettante pour l’honneur d’une tierce personne », c’est-à-dire « des lettres de cette femme ». D’autre part, comme l’amie de Schwarzkoppen avait déguisé son écriture dans le petit bleu, Gonse en profita pour déposer que « l’écriture de la carte-télégramme était inconnue » (I, 553), ce qui fut répété par Lauth (I, 619). De même Roget : « C’est le seul document de ce genre qui nous soit venu dans un espace de huit ans » ; il ajoute toutefois : « Par malheur, depuis son faux, Henry est un petit peu suspect » (I, 296).
Page 244, ligne 3. — Au lieu de : entrer au ministère de la Guerre, lire : être nommé dans les bureaux de la Guerre.
Page 244, ligne 14. — Ajouter : Et d’autres pièces, de 1895, étaient plus importantes encore, mais Henry se garda de