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CORRECTIONS ET ADDITIONS


dant De Mitry, lire : celle de Gallet par le commandant De Mitry, et celle d’Echemann par d’Aboville.

Page 442, ligne 22. — Après : bordereau, ajouter : qui confirme le passage du commentaire sur le voyage de Dreyfus dans les Alpes.

Page 442, note 2. — Supprimer : ou de Pauffin de Saint-Morel.

Page 442, note 2. — Après : significative, ajouter : Voir t. II, 348.

Page 494, ligne 17. — Au lieu de : Lebrun-Renault, lire (ici et partout où se retrouve le nom de cet officier) : Lebrun-Renaud, conformément à l’orthographe de l’« Annuaire militaire » et contrairement à celle qui avait été fréquemment donnée pendant l’Affaire.

Page 519, note 3. — Ajouter : Voir t. VI, 447-448. — Guérin ne dit pas à Picquart que Saussier trouvait les aveux inconciliables avec les protestations publiques de Dreyfus. Picquart partit en voiture avec lui et lui dit qu’il y avait d’autres traîtres, lui parla de Maurice Weil, lui demanda des renseignements sur cet ami de Saussier.

Page 522, ligne 8. — Au lieu de : n’été volée, lire : n’a été volée.

Page 535, note 5. — Ajouter à la fin de la note : Rennes I, 152, lettre de Dupuy à Casimir-Perier de février 1898, versée aux débats : « Il ne nous a rien dit de précis. À coup sûr, il n’a pas redit le propos : Si j’ai livré des pièces… »

Page 536, ligne 12. — Au lieu de : Lebrun-Renault salua…, lire : Lebrun-Renaud, qui ne demandait qu’à s’en aller, salua et sortit.

Page 536, note 3. — Ajouter : I, 869 ; Rennes, I, 152, lettre de Dupuy à Casimir-Perier : « Il m’a dit : J’étais intimidé et troublé, je ne demandais qu’à m’en aller. — Enfin, lui ai-je dit, vous êtes-vous rendu compte du but pour lequel le ministre vous avait envoyé à l’Élysée ? — Ah, pour cela, oui ; c’était pour m’y faire donner un savon. »