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HISTOIRE DE L’AFFAIRE DREYFUS

285-287. — Les notes du bordereau, 288-289. — La date du bordereau, le mot « manœuvres », 290. — Dreyfus lui demande à être reçu par Mercier, 296. — Interroge Maistre, Tocanne, Dervieu, Roy et Bernollin, 297-299. — Charge Bertillon d’expertiser les lettres adressées à Dreyfus, 300. — La lettre du buvard, l’auto-forgerie, 301-310. — Dépose son rapport, 311. — Analyse du rapport : l’expertise de Gobert, 312-314 ; l’examen graphologique du bordereau, 315 ; les interrogatoires de Dreyfus, 316 ; les rapports de Guénée, les dépositions des témoins à charge, 316-317. — Les notes du bordereau, 320-322. — Néant du rapport : insinuations et hypothèses, 318-319. — Conclusions, 323. — Le rapport est publié par Joseph Reinach dans le Siècle, III, 160. — Impression produite par cette publication, 161, I, 391. — Pellieux déclare que le texte publié a été tronqué ; démenti de Joseph Reinach, III, 403 et note 1. — Reprise du rapport au procès de Rennes, V, 281. — Son réquisitoire dans l’affaire Voisin, VI, 285, note 7.

Ottaviani. Arrêté au cours des bagarres du 25 octobre 1898 devant la Chambre des députés, IV, 337, note 3.

Otto. Prétendu secrétaire d’ambassade ; le faux de ce nom, III, 108-111. — Lettre de Lemercier-Picard à Joseph Reinach au sujet de ce faux, 331.

Otto (Georges). Compagnon de Jules Guérin au « fort Chabrol », V, 423, note 4.

Ourousoff (Prince). Ambassadeur de Russie à Paris en remplacement de Mohrenheim (décembre 1897), III, 563, note 1.


P

Painlevé (Paul), membre de l’Académie des sciences, professeur de mathématiques générales à la Sorbonne. Sa conversation avec Hadamard au sujet de Dreyfus est travestie par D’Ocagne, III, 590. — Sa démarche auprès de Gonse pour rétablir le vrai sens de cette conversation, 591. — Signe la protestation en faveur de Picquart, IV, 390, note 2. — Sa déposition devant la Chambre criminelle (revision du procès de 1894), 517. — S’aperçoit que ses explications sur l’incident Hadamard ont été dénaturées par Gonse, V, 45. — Sa déposition au conseil de guerre de Rennes, 408 et note 3. — Communique au conseil la lettre d’Henri Poincaré sur le système de Bertillon, 433-435. — Son discours à l’inauguration du monument de Grimaux à Rochefort, VI, 197, note 4 ; à l’inauguration de la statue de Trarieux, 296, note 1. — Sa déposition devant la Chambre criminelle (revision du procès de Rennes), 310, note 2.

Pajot (François-Christophe), député. Son attitude lors des incidents provoqués par l’interpellation de Cavaignac sur les aveux ; (séance du 22 janvier 1898), III, 310.

Paléologue (Maurice), secrétaire d’ambassade. Ses entretiens avec Henry au sujet de l’Affaire ; croit Dreyfus coupable, II, 192. — Témoin de la conversation où Dubois de l’Estang rapporte à Joseph Reinach les paroles de Witte sur Dreyfus, 542, note 1. — Informé par Henry de l’existence de lettres de Guillaume II et d’une lettre de Panizzardi à Schwarzkoppen établissant la culpabilité de Dreyfus, 636 ; III, 45. — Porte à Henry la déclaration de Muns-