Page:Joseph Reinach - Histoire de l’Affaire Dreyfus, Eugène Fasquelle, 1911, Tome 7.djvu/184

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
176
HISTOIRE DE L’AFFAIRE DREYFUS

tembre 1899) ; réplique de Demange, 503-508. — Candidat au Sénat, VI, 56. — Son élection (janvier 1900), 57-58. — Intervient dans les débats sur l’amnistie, 124. — Flétri implicitement par le discours de Waldeck-Rousseau au Sénat sur l’amnistie (séance du 2 juin 1900), 127. — Dément avoir communiqué la photographie du bordereau annoté aux juges de Rennes, 217, 247. — Sa déposition devant la Chambre criminelle (revision du procès de Rennes), 302, 305 et note 6 ; 313-314 ; le bordereau annoté 325-326 ; la femme Bastian, 349, note 1. — Lettres ouvertes de Gaston Méry (Libre Parole) et de Delahaye (Autorité) le conjurant de dire toute la vérité, 454, note 2. — Ses lettres à Ballot-Beaupré : il demande à être confronté avec Casimir-Perier et Dupuy, 455-456 ; appendice, 526-531. — Article de Gaston Méry : le silence du général Mercier, 457 et note 1. — Refuse de parler après l’arrêt de la Chambre criminelle, 477. — S’abstient dans le vote relatif à l’installation des bustes de Trarieux et de Scheurer-Kestner dans la galerie du Sénat, 478, note 3. — Flétri par l’ordre du jour Reveillaud (séance de la Chambre du 13 juillet 1906), 496. — Son discours contre la réintégration de Dreyfus : violents incidents auxquels ce discours donne lieu ; réplique de Barthou, 496-499.

Mercier (Madame, née Tremayne-Symons). Impression produite sur elle par la condamnation de Dreyfus, I, 450.

Mercier, lieutenant-colonel. Note donnée par lui à Esterhazy en 1894, II, 95, note 2.

Mercier-Milon (Armand), lieutenant-colonel puis colonel. Chef de Dreyfus à la section des manœuvres, I, 71, II, 209. — Sa déposition au procès de 1894, I, 414. — Reçoit une lettre de Picquart qui cherche un permutant, II, 474. — Envoyé par Boisdeffre pour recevoir Picquart à la gare de Lyon (26 novembre 1897) ; son entretien avec Picquart, III, 105. — Son nom est mêlé à l’affaire du faux « Otto », 108-110. — Remplace le colonel Meunier à l’État-major général, VI, 128.

Mérillon (Daniel), avocat général près la Cour de cassation. Son réquisitoire au sujet de la requête d’Esterhazy contre Bertulus (mars 1899), V, 24, note 1.

Merle (Maurice), commandant. Juge au conseil de guerre de Rennes, V, 269-270. — Son attitude pendant les débats, 339, 526-527. — Se prononce pour la culpabilité de Dreyfus, 533, 542 et note 1, VI, 204. — Ses entretiens avec le docteur Dumas au sujet du verdict de Rennes : le bordereau annoté, 209-212. — Versions contradictoires de Dumas et de lui sur ces entretiens, 213. — Discours de Jaurès à la Chambre au sujet de ses révélations (séance du 18 mars 1903), 232. — La Chambre criminelle le fait interroger par commission rogatoire, 319.

Mertian (dit : de Muller), avocat à Lille, Aurait vu, à Postdam, un numéro de la Libre Parole annoté par Guillaume II ; article de la Dépêche (de Lille) à ce sujet, III, 14-15. — Son témoignage est invoqué par Mercier au procès de Rennes, V, 324-325. — Sa déposition à ce procès, 445, III, 15, note 1.

Méry (Gaston), rédacteur à la « Libre Parole ». Son article sur la visite d’Hanotaux à Munster (décembre 1894), I, 241 et note 3. — Publie le texte des prétendus aveux de Dreyfus, 514,