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HISTOIRE DE L’AFFAIRE DREYFUS

note 4. — Suspendu pour six mois par le conseil de l’Ordre des avocats, 492. — Mis par Trarieux au courant des confidences de Christian Esterhazy, 615. — Plainte portée par Cavaignac contre Picquart et lui en raison de la communication des dossiers secrets, IV, 41. — Son interrogatoire à l’instruction Fabre, 112, 114. — Modification de l’inculpation dont il est l’objet ; sa protestation, 115-116. — Figure parmi les revisionnistes que Cavaignac projette de déférer à la Haute-Cour, 125. — Clôture de l’instruction Fabre ; il est renvoyé devant le tribunal correctionnel, 163. — Son procès devant la huitième chambre, 286-287. — Se pourvoit en règlement de juges devant la Cour de cassation, 163, note 5. — Se désiste de son pourvoi ; renvoyé devant la Chambre des mises en accusation, il bénéficie d’un non-lieu, 163, note 5 ; V, 141. — Rend visite à Mathieu Dreyfus à Mulhouse ; s’entretient avec lui du bordereau annoté, VI, 214. — Communique à Jaurès les déclarations de Mathieu Dreyfus, 215.

Leblond, commandant. Dépose en faveur de Dreyfus au procès de 1894, I, 429.

Leblond (Eleuthère), maire de Cayenne. Croit Dreyfus innocent, V, 196.

Lebon (André), député. Ministre dans le cabinet Ribot (janvier 1895), I, 561. — Ministre des colonies dans le cabinet Méline (avril 1896), II, 197, note 1. — Son portrait, 308-310. — Apprend la prétendue évasion de Dreyfus, 307. — Ordonne de mettre Dreyfus à la double boucle de nuit et d’entourer sa case d’une palissade, 310-311. — Avertit Picquart de cette mesure, 327. — N’en confère pas avec ses collègues, 320. — Déclare que la mise aux fers n’était que provisoire, 318, note 1. — Le « faux Weyler », 323 et note 1. — Remplace Bravard par Deniel aux îles du Salut : ses instructions à Deniel, 321-322 et note 1. — Son attitude pendant l’interpellation Castelin (séance du 18 novembre 1896), 451. — Nouvelles mesures de rigueur contre Dreyfus, 455-456. — Démarche de Joseph Reinach auprès de lui : il refuse de recevoir la lettre préparée par Joseph Reinach pour Dreyfus et lui raconte comment il a ordonné de mettre Dreyfus aux fers, 548-550. — Rend compte à Méline de cette entrevue, 551. — Écrit à Scheuner-Kestner de ne rien faire pour Dreyfus sans en avoir référé aux ministres, 551. — Aurait envoyé un matériel d’embaumement à l’île du Diable en prévision de la mort de Dreyfus, 553. — Son attitude au Conseil des ministres du 9 novembre 1897, 663-664. — Retient la pétition de Dreyfus aux Chambres (28 février 1898), III, 539. — Refuse à Mme Dreyfus l’autorisation de rejoindre son mari à l’île du Diable, 539. — Son échec aux élections législatives de 1898, 587. — Sa déposition au procès de Rennes, V, 381-382.

Le Bonniec (Léontine), maîtresse de Lemercier-Picard, III, 496-497. — Découvre que son amant s’est pendu, 499-500. — Interrogée par Bertulus, 506, note 1.

Lebret (Georges), député de Caen. Se prononce contre la revision, IV, 356. — Ministre de la Justice dans le cabinet Dupuy (octobre 1898), 356. — Annonce qu’il combattra les propositions Goujon et Gerville-Réache sur le dessaisissement, 358. — Assiste à l’entretien de Dupuy avec les délégués des