Page:Joseph Reinach - Histoire de l’Affaire Dreyfus, Eugène Fasquelle, 1911, Tome 7.djvu/127

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
119
INDEX GÉNÉRAL

arrestation, 592. — Incident Pomier, 592. — Impute à Dreyfus, malgré les conclusions de Bertillon, l’affaire de l’obus à la mélinite, 593. — Obtient du capitaine Rémusat une note établissant que Dreyfus aurait cherché à se procurer des renseignements sur l’obus Robin, 593-594 et note 1. — interroge Henry au sujet de l’absence au dossier de la dépêche du 2 novembre 1894, 594-595. — Fait demander au sous-secrétaire d’État aux Postes l’original de cette dépêche, 597. — En rédige sous la dictée de Du Paty un texte falsifié, 601-602. — Informé par Roget du grattage du petit bleu ; ne tient aucun compte de cette découverte, 611 ; IV, 247. — Remet à Cavaignac le dossier Dreyfus, 1. — Dissuade Cavaignac de consulter Picquart, 8. — Confirme à Roget l’exposé qu’Henry lui a fait de l’Affaire, 63. — Interrogé par Cavaignac à la suite des déclarations faites à celui-ci par Du Paty, 65-66. — Fait déléguer Henry pour assister au dépouillement des papiers saisis chez Marguerite Pays et Esterhazy, 72. — Récit mensonger que lui fait Henry de son entrevue avec Bertulus, 78. — Confronté avec Picquart à l’instruction Fabre ; sa déposition, 99, 104. — Informé par Roget de la découverte du faux Henry, 181-182. — Conduit Henry chez Cavaignac, 183. — Assiste à l’interrogatoire d’Henry ; son attitude, 184. — Henry lui demande de venir le voir au Mont-Valérien, 206-207. — Sa mise en disponibilité réclamée par Brisson, 217-218. — Porte ses condoléances à Mme Henry après le suicide d’Henry, 220, note 3. — Assiste au procès Picquart-Leblois devant la huitième chambre, 285. — Sa déposition à l’instruction Tavernier ; nie que Roget lui ait signalé le grattage du petit bleu, 379, note 1. — Sa déposition devant la Chambre criminelle (revision du procès de 1894), 456-457. — Mis en disponibilité, 457, note 2. — Rappelé par la Chambre criminelle ; sa déposition au sujet de la dépêche du 2 novembre 1894, 519 ; III, appendice, 648-649 ; sa lettre à Mazeau, V, 56, note 1 ; sa déposition devant les Chambres réunies, 63. — Témoin au procès de Rennes, 284. — Sa déposition, 388-390 et note 1, 392, 393, 399. — Intervient lors de la lecture de la déposition d’Esterhazy, 446. — Picquart demande l’ouverture d’une instruction contre lui en raison de son rôle dans l’affaire du faux Henry, VI, 52. — Sa déposition devant la Chambre criminelle (revision du procès de Rennes), 311, note 1 ; 315. — « On agira sur le mari », 316. — Déclare n’avoir jamais cru à l’existence du bordereau annoté, 328-329. — Sa lettre à Ballot-Beaupré au sujet du réquisitoire de Baudouin, 449, note 6, 450. — Son duel avec Picquart, 450 et note 7.

Gossart, général. Préside le Conseil de revision qui rejette le pourvoi de Dreyfus contre le jugement de 1894, I, 478, note 3.

Goudchaux (Edmond). Informé par Joseph Reinach de la campagne entreprise par Scheurer-Kestner en faveur de Dreyfus, II, 546, note 1.

Gouin (Eugène), sénateur. S’abstient dans le vote relatif à l’installation des bustes de Scheurer-Kestner et de Trarieux dans la galerie du Sénat, VI, 478, note 4.

Goujon (Julien), député de la Seine-Inférieure. Intervient dans la discussion du projet de loi sur la trahison et l’espionnage, I, 478. — Son interruption lors de l’interpellation de De Mun sur la lettre « J’accuse » (séance du 13 janvier 1898), III, 233. — Dépose une proposition de loi ten-