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HISTOIRE DE L’AFFAIRE DREYFUS

311, note 3. — Poursuivi par Dupuy à cause de son livre « l’Armée contre la Nation », 421-425 et note 1. — Son acquittement, V, 28, 91. — Se livre à de nouvelles attaques contre l’armée après le scandale d’Auteuil, 126, 140, 143, VI, 68-69. — Article où il prétend avoir été seul à voir dans l’Affaire autre chose que Dreyfus ; Clemenceau quitte l’Aurore à la suite de cet article, VI, 70 et note 1. — Article auquel Joseph Reinach répond dans le Siècle : (« Assez ! ») 71-72. — Quitte l’Aurore : ses attaques contre Jaurès et les socialistes ministériels, 218.

Gomot, sénateur. Vote pour la loi de dessaisissement, V, 21 note 5. — S’abstient dans le vote relatif à l’installation des bustes de Scheurer-Kestner et de Trarieux dans la galerie du Sénat, VI, 478, note 4.

Gonse (Arthur), général, sous-chef d’État-Major général. Sa note au sujet des périodes de service que doivent effectuer les stagiaires de l’État-Major, I, appendice, 613-614. — Remet le bordereau à Boisdeffre, 39. — Averti par Fabre que Dreyfus est l’auteur présumé de la trahison, prévient Boisdeffre, 62. — Compare l’écriture du bordereau à celle de Dreyfus, 63. — Charge Du Paty d’examiner ces écritures, 65. — Se taira, dans ses dépositions, sur la mission confiée par lui à Du Paty, 66. — Résultats de l’examen de Du Paty ; nécessité d’une enquête légale, 66-75. — Remet à Gobert le dossier préparé par Du Paty sans nommer Dreyfus, 81-82. — Refuse de faire photographier le bordereau, 83. — Presse Gobert de terminer son expertise, 87. — Refuse de lui nommer l’auteur présumé du bordereau, 88-89. — Prépare l’arrestation de Dreyfus, 89. — Reçoit le rapport de Gobert, 91 ; lui apprend que l’arrestation de l’officier inculpé est décidée, 92. — Signe la lettre convoquant Dreyfus au ministère de la Guerre, 100. — Assiste à la réunion où est formé le plan de l’arrestation, 101. — Avisé de l’arrivée de la dépêche du 2 novembre 1894, 247. — Reçoit la traduction officielle de cette dépêche, 250. — Entendu par D’Ormescheville, 266. — Cité par l’accusation au procès de 1894, 389. — Sa déposition devant le conseil de guerre, 404. — Ignore que le dossier secret n’a pas été disloqué, 452. — Se rend chez Picquart avec Boisdeffre pour s’enquérir de l’officier qui aurait reçu les aveux de Dreyfus, 527-528. — Reçoit l’ordre d’amener cet officier chez Mercier, 528. — Va chercher Lebrun-Renaud et le conduit à Mercier ; assistée leur entretien, 530. — Met Picquart au courant de l’incident provoqué par la dépêche Hohenlohe ; ne lui parle pas des aveux, 547. — Sa prétendue lettre à Boisdeffre du 6 janvier 1895 au sujet des aveux, 547, appendice, 630-631. — Version que Lebrun-Renaud lui aurait donnée des aveux, appendice, 629-631. — Ses alliances juives, II, 202-203. — Déclare que les visites de Leblois à Picquart gênaient le service, mais qu’il n’a fait à leur sujet aucune observation, 233, note 5 ; 234, note 4. — l’affaire Boulot, 236. — N’est pas averti par Picquart de l’arrivée du petit bleu, 247. — Informé par Picquart des difficultés qu’Henry prétend avoir avec la femme Bastian, 264. — N’est pas informé des premiers soupçons de Picquart contre Esterhazy, 281. — Averti des découvertes de Picquart ; son entrevue avec celui-ci, 298-299. — Conseille à Picquart de séparer l’affaire Dreyfus de l’affaire Esterhazy, 299. — Son entretien avec Boisdeffre après la visite de Picquart, 333. — Sol-