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HISTOIRE DE L’AFFAIRE DREYFUS

taire roumain. Soupçonné d’avoir procuré le manuel de tir à Panizzardi, III, 90.

Giard, membre du Comité directeur de la Ligue de la Patrie Française, IV, 505, note 3.

Gibert, carrossier. Créancier d’Esterhazy, II, 47, note 3.

Gibbons, rédacteur à la revue « Black and White ». Fait récrire le bordereau à Esterhazy, V, 501, note 3.

Gibert, docteur en médecine. Son caractère, ses travaux scientifiques, ses expériences d’hypnotisme sur Léonie, II, 172-173. — Persuadé, dès 1894, que Dreyfus est innocent, 171. — Fait, sûr la demande de Mathieu Dreyfus, une démarche auprès de Félix Faure, 173-174. — Son entrevue avec Félix Faure, qui lui révèle la communication secrète, 174-175 ; I, appendice, 598 ; V, 59. — Raconte cette entrevue dans une lettre à G. Monod (23 novembre 1897), II, 173, note 4. — Renonce à déposer au procès Zola, III, 399, note 2. — Sollicité par Berge de faire cesser la campagne de presse menée contre Félix Faure par les revisionnistes, IV, 237, note 4. — Rompt avec Loew à propos de l’Affaire, 321 et note 2. — Croit à la complicité d’Henry et d’Esterhazy, 432, note 2. — Sa lettre à Joseph Reinach à ce sujet, appendice, 622.

Gicquel des Touches, amiral, ancien ministre de la marine. Souscrit aux listes rouges, IV, 440.

Ginestous (Marquis Jean-César de). Ses relations avec Marie-Anne Esterhazy, II, 11 et note 2.

Giovaninelli, général commandant le 3e corps d’armée. Sollicite Billot et Saussier en faveur d’Esterhazy, II, 288 ; 382-383. — Son entretien avec Freystætter ; lettre qu’il reçoit de celui-ci, V, 59, 60 et note 2.

Girard, militant antisémite. Arrêté avec Guérin au cours des manifestations devant le Palais-Bourbon (25 octobre 1898), IV, 337, note 3. — Mis hors de cause par la commission d’instruction de la Haute-Cour, VI, 31.

Girard (Henry), rédacteur au « Matin ». Emprunte à Teyssonnières le fac-similé du bordereau pour le montrer à Maurice Bunau-Varilla, II, 430, note 7.

Girard (Théodore), sénateur. Son intervention lors de l’interpellation sur la démission de Quesnay (séance du 19 janvier 1899), IV, 528, note 3 ; lors de la discussion de la loi de dessaisissement (séance du 1er mars 1899), V, 22, note 1.

Giraud-Teulon (Marc-Félix), docteur en médecine. Signe la protestation en faveur de Picquart, IV, 390, note 2.

Giraudeau (Fernand), ancien fonctionnaire de l’Empire. Publie sous le pseudonyme de Justin Vanex une brochure (« Innocent ou coupable ») en faveur de la revision, III, 536-538.

Girod. Entend plusieurs officiers propager la légende des aveux de Dreyfus, I, 518, note 3.

Giry (Arthur), membre de l’Institut, professeur à l’École des Chartes et à l’École des Hautes Études. Cité comme témoin au procès Zola, III, 302. — Sa déposition établissant que le bordereau est l’œuvre d’Esterhazy, 416-417. — Proteste contre la brochure de Gohier l’Armée de Condé, IV, 149. — Rapporte à G. Monod un propos du général Niox au sujet de la revision, 382 et note 1 — Sa déposition