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HISTOIRE DE L’AFFAIRE DREYFUS

procès de 1894, I, 385. — Reçoit d’Henry l’assurance que Dreyfus est coupable, 398. — Pose une question à Henry, 417. — Impression faite sur lui par la seconde déposition d’Henry, 421 ; par la production des pièces secrètes, 441-442. — Dément les propos qui lui sont prêtés par Destez, II, 511, note 4. — Attitude de Cavaignac à son égard, IV, 4, note 1. — Déclare que les aveux d’Henry rendent la revision inévitable, 224-225. — Croit Esterhazy l’auteur du bordereau, 225, note 1. — Ses propos à Roget, I, 421, note 2, V, 59. — Reçoit la visite de D’Aboville et de Mitry envoyés par Mercier, 503.

Galli (Henri). Ses relations avec Jules Guérin, IV, 296, note 3. — Annonce le départ de Déroulède pour Rennes, V, 252, note 4. — Membre du comité d’action constitué en 1899, par Déroulède, 257. — Porte à Négrier une lettre de Déroulède, 258, note 3 ; dépêche qu’il reçoit de Déroulède au sujet de la déposition de Mercier à Rennes, 305-306.

Galliffet (Marquis de), général. Ses rapports avec Mercier, I, 2. — Mis en cause par Paschal Grousset dans son interpellation à propos d’un article du Figaro (séance du 5 juin 1894), 10. — Violentes attaques de Drumont et de Rochefort contre lui, 12. — Fait entrer Picquart dans son État-Major, II, 206. — Accusé par Lauth d’avoir reçu de l’argent de Joseph Reinach pour faire entrer Picquart au service des Renseignements, III, 82, note 2. — Donne à Gaston Pâris son avis sur la revision, IV, 382. — Sa déposition devant la Chambre criminelle (revision du procès de 1894), 148, note 3 ; IV, 449. — Sa lettre au président et aux membres de la Chambre criminelle, 502, note 2 ; propose d’aller demander à Guillaume II la preuve de l’innocence de Dreyfus, V, 39-40. — Son article dans les Débats sur les sanctions réclamées contre les officiers coupables, 79 et note 2. — Waldeck-Rousseau lui offre d’être son chef de cabinet au ministère de la Guerre ; il accepte, 168 et note 1. — Son portrait, 168-170 ; négociations qui précèdent son entrée dans le cabinet Waldeck-Rousseau, 170-177 ; prend le portefeuille de la Guerre (juin 1899), 177, note 1 ; violentes attaques dont il est l’objet, 178-179 — Ses premières mesures, 185-186 ; manifestations hostiles lors de son entrée à la Chambre, 187-192. — Dispositions prises par lui en vue du débarquement de Dreyfus, 205 ; son entretien avec Boisdeffre au ministère : « Pas de représailles ! », 213 et note 1 ; ses instructions à Carrière, 229-230 ; fait adresser à Esterhazy un sauf-conduit pour Rennes, 238 ; demande si toutes les pièces relatives à l’Affaire ont été envoyées à Rennes : réponse affirmative de Rollin et de Dautriche, 245. — Remplace Zurlinden par Brugère au gouvernement de Paris, 248 ; relève Négrier de toutes ses fonctions et inflige soixante jours d’arrêts de rigueur à Guyot de Villeneuve, 250, 251 et note 1. — Interdit le séjour de Rennes, pendant la durée du procès, aux officiers étrangers à la garnison, 266 ; délègue Chamoin pour suivre les débats et lui en rendre compte, 270 ; instructions qu’il donne à Chamoin au sujet de la version officielle de la dépêche du 2 novembre, 298. — Dément avoir été invité par Munster à prévenir les indiscrétions des témoins militaires, 306. — Approuve les mesures proposées par Waldeck-Rousseau contre les fauteurs du complot, 309. — Reçoit une lettre de Chamoin prévoyant l’acquittement de Dreyfus, 415 ; refuse de remplacer Chamoin, 418 et note 2. — Son attitude lors de l’affaire du fort Chabrol, 424,