Page:Joseph Reinach - Histoire de l’Affaire Dreyfus, Eugène Fasquelle, 1911, Tome 7.djvu/110

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
102
HISTOIRE DE L’AFFAIRE DREYFUS

angoisses et ses pressentiments, 237. — Affaires dont il est l’objet de la part des revisionnistes, 237-238. — Après la démission de Cavaignac, se propose d’appeler Saussier au ministère de la Guerre, 239. — Son entrevue avec Zurlinden, 240. — Reçoit Cavaignac, 245. — Fait ajourner à son retour des manœuvres (17 septembre 1898) la décision du Conseil relative à la revision, 261. — Sommé par la presse réactionnaire de s’opposer à la campagne revisionniste ; discours de Négrier au banquet de Gennetine, 267. — Son attitude au Conseil des ministres du 17 septembre, 269. — Nouvelles attaques des revisionnistes contre lui à la suite du transfert de Picquart au Cherche-Midi, 288. — N’assiste pas au Conseil du 26 septembre (renvoi à la Cour de cassation de la requête de Mme Dreyfus), 298. — Refuse de recevoir Chanoine après sa démission, 338. — Cherche à dégager l’armée de l’Affaire, 350. — Sa réponse aux propositions de Déroulède sur la nécessité d’un coup d’État, 351. — Appelle Dupuy pour constituer un cabinet après la chute de Brisson (octobre 1898), 351. — Intervient auprès de Freycinet pour lui faire accepter le portefeuille de la Guerre, 354. — Accueil qu’il fait à Dupuy après la constitution du cabinet, 356. — Aurait eu des accointances secrètes avec Quesnay de Beaurepaire, 490. — Intervient au Conseil des ministres pour faire voter le projet de dessaisissement (27 janvier 1899), 530. Ses manœuvres auprès des députés pour les gagner à ce projet, 542. — Sa satisfaction après le vote de la Chambre ; il annonce à Dupuy qu’il demandera une seconde délibération si le Sénat rejette la loi, 545. — Sa dernière journée, 546-547. — Son entretien avec le cardinal Richard et avec le prince de Monaco, 547. — Ses derniers instants, 548-550. — Sa mort, 551, 552. — Versions contradictoires sur les circonstances de son décès, 553-554. — Les Chambres votent des obsèques nationales, 570. — Ses obsèques, 592-595. — Récit de Le Gall et procès-verbal des médecins au sujet de sa mort, appendice, 622-623. — Lalance déclare avoir reçu de lui les mêmes confidences que Gibert touchant la communication des pièces secrètes, V, 59. — Aurait tenu en mains, d’après Quesnay, « la preuve formelle du crime de Dreyfus », 223.

Faure (Lucie), fille du précédent. Confidences que lui fait Scheurer-Kestner au sujet de l’innocence de Dreyfus ; elle en rend compte à son père, II, 530-531. — Sollicitée par Scheurer-Kestner de procurer à celui-ci un entretien avec son père, 616, 620.

Faure (Firmin) député d’Oran. Sa démarche auprès de Brisson pour faire retirer à Lépine le gouvernement de l’Algérie, IV, 128, note 3. — Invité aux déjeuners de Deschanel, 463, note 3. — Ses attaques contre Delcassé, V, 85. — Se rend chez Cunéo d’Ornano, de la part de Mercier, pour l’empêcher de publier dans le Petit Caporal un article sur le bordereau annoté, 260, note 4. — Interpelle au sujet de la démission de Delanne (séance du 28 juin 1900), VI, 130, note 1.

Faure (Sébastien), militant libertaire. Prend part à la campagne de réunions publiques en faveur de la revision, III, 257 ; IV, 273. — Signe le manifeste invitant les révolutionnaires à « disputer la rue » aux nationalistes (22 octobre 1898), 330, note 3. — Son attitude lors des désordres de la salle Chaynes (10 décembre 1898), 426. — Prend part aux meetings organisés pour