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du troisième ordre, qui sera le résultat de l’élimination de au moyen des trois équations précédentes, combinées avec l’équation tierce (no 46, Ire Partie)

par conséquent, on aura nécessairement

étant des fonctions de et sans de sorte qu’en prenant les fonctions primes de l’équation

on aura

savoir

équation qui se partage naturellement dans ces deux-ci,

dont la première est du troisième ordre et dont la seconde n’est que du second.

L’équation a, comme nous l’avons déjà vu, pour équation primitive complète l’équation même

de la courbe du contact, dans laquelle sont les trois constantes arbitraires ; mais, comme l’équation du problème

n’est que du second ordre, il doit y avoir une relation entre ces trois constantes qui les réduise à deux arbitraires, et cette relation est donnée par l’équation

qui résulte de la précédente, en substituant les valeurs de tirées des équations