quantité essentiellement positive, en prenant le radical positivement ; donc sera une quantité réelle.
Considérons ensuite la quantité
on aura de la même manière
quantité essentielleiient négative, car
et par conséquent
Donc, faisant on aura
étant une quantité réelle ; donc
et ainsi de suite.
6. Ces réductions supposées, d’Alembert considère une courbe quelconque, dont l’ordonnée soit nulle ou infinie lorsque l’abscisse est nulle, et il observe que, quelle que puisse être l’équation de la courbe, on peut toujours, lorsque est très-petit, avoir la valeur de en au moyen du parallélogramme de Newton, exprimée par une série très-convergente de la forme
dans laquelle les exposants de sont imaginés aller en augmentant, et dont on peut toujours supposer que tous les termes sont réels, en fai-