par rapport à la Lune. En effet, si l’on suppose d’abord
l’équation devient
dont l’intégrale, étant mise sous cette forme
donne une ellipse dans laquelle est le demi-paramètre, l’excentricité, et la longitude de l’apside inférieure. Qu’on regarde maintenant et comme variables, et qu’on suppose, par une raison analogue à celle que nous avons expliquée ci-dessus,
on trouvera
Ainsi l’équation se réduira à deux équations du premier degré, d’où l’on tirera aisément et
IV.
Les observations nous apprennent que les inégalités des mouvements des satellites de Jupiter sont très-petites, aussi bien que les inclinaisons de leurs orbites, par rapport à l’orbite de cette Planète ; d’où il suit que, si l’on nomme la valeur moyenne de la valeur moyenne de c’est-à-dire la vitesse angulaire moyenne, et qu’on dénote par un coefficient très-petit, et par des quantités variables, on aura les expressions suivantes