du premier et du troisième satellite ont dû arriver à
de temps moyen ; d’où je conclus qu’au temps de la conjonction du second satellite, le premier était plus avancé de ce qui fait et que le troisième était en arrière de ce qui vaut donc
par conséquent
à très-peu près.
On aura donc, en général,
ainsi les deux termes
peuvent se réduire à un terme unique, tel que
lequel ne donne qu’une équation dépendante de l’élongation du premier satellite au second.
LXVI.
Soit, dans une conjonction du second satellite, on aura, par ce que nous avons démontré dans l’Article précédent, après révolutions de ce même satellite,
et par conséquent