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mon Mémoire sur l’attraction des sphéroïdes elliptiques, année 1773[1], que l’attraction d’un sphéroïde représenté par l’équation

sur un point quelconque pris dans l’intérieur de ce sphéroïde et déterminé par les coordonnées parallèles à se réduit à trois forces dirigées suivant et exprimées par les quantités étant des fonctions de et telles qu’en faisant

on ait

Or l’équation du sphéroïde du numéro précédent étant

(en changeant en ), on aura par la comparaison de cette équation avec la précédente

et, mettant pour leurs valeurs (63), et étantdes quantités très-petites, on aura

donc

  1. Œuvres de Lagrange, t. III, p. 640.