de la deuxième Partie citée)
et
les quantités étant les corrections qu’on pourrait faire aux masses que nous avons déterminées de Saturne, Jupiter, Mars, Vénus et Mercure, de manière que ces masses soient augmentées dans les raisons de à Donc, substituant pour et négligeant le terme tout constant qui ne donnerait dans qu’un terme proportionnel au mouvement moyen on aura, à cause de
cette valeur de l’équation séculaire comptée de 1700
où l’on remarquera que, comme la valeur de est exprimée en secondes, ainsi que celle de il faudra diviser l’une ou l’autre par nombre de secondes de l’arc égal au rayon. De cette manière on trouve pour l’équation séculaire du mouvement moyen de la Lune, la formule
étant le nombre des années Juliennes écoulées avant ou après l’époque de 1700.
Ainsi l’on aura pour le premier siècle, en faisant ,
Mayer l’a établie de ce qui s’accorde assez bien avec notre détermination en rejetant les corrections des masses. On voit aussi que, s’il fallait diminuer beaucoup la masse de Vénus, comme quelques Astronomes le