À l’égard de l’intérêt de l’argent, nous l’avons supposé à pour ce qui donne
Ces Tables donnent immédiatement la somme annuelle ou l’annuité que le père devrait payer pendant sa vie et la minorité de son enfant, pour lui assurer après sa mort une annuité d’une unité qui ne durerait que jusqu’à ce qu’il eût atteint sa vingt-cinquième année. Dans la première Table on a fait abstraction de la mortalité de l’enfant, et l’on voit que les nombres sont tous un peu plus grands que dans la seconde, où l’on a tenu compte de cette mortalité, mais on voit en même temps que les différences des nombres correspondants dans les deux Tables sont en général fort petites. De sorte que, lorsqu’il y aura plusieurs enfants, on ne se trompera pas beaucoup en prenant le milieu entre les nombres donnés par ces deux Tables et relatifs à l’âge du père et à celui du plus jeune des enfants. Mais on pourrait peut-être dans ce cas approcher davantage de l’exactitude par la formule suivante
Soit le nombre des enfants, et les nombres donnés par la première et par la seconde Table, pour le cas du plus jeune de ces enfants, on prendra, pour l’annuité que le père doit payer, la quantité cette formule devient égale à lorsque et égale à lorsque ce qui doit être.