d’où l’on tire
donc
ce qui donne cette équation en du second degré
dont les racines sont
et par conséquent toutes deux réelles ; par où l’on est assuré que les expressions des variables ne contiennent point d’arcs de cercle.
En nommant ces deux racines et on trouve
et les expressions complètes de seront
en faisant
Il reste ainsi quatre arbitraires qu’il faudra déterminer par les valeurs données de pour l’époque de 1700. De sorte