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lesquelles serviront à déterminer le mouvement du corps, en vertu des forces

3. Il faut maintenant intégrer ces équations de manière que, si l’on faisait abstraction des quantités il en résultât pour l’orbite des équations algébriques.

Pour cela je fais d’abord ces trois combinaisons, qui servent à chasser les termes divisés par

Il est visible que les premiers membres de ces équations sont intégrables. Je fais donc

(A)

substituant ces valeurs et intégrant, j’aurai

(B)

Les constantes nécessaires pour compléter ces intégrales sont évidemment contenues dans les quantités lesquelles le deviennent elles-mêmes lorsque les forces perturbatrices s’évanouissent.

4. En chassant de ces dernières équations les différences ce qui ne demande que de les ajouter ensemble après les avoir multipliées