laquelle est intégrable relativement à et donne
n’étant point nécessaire d’ajouter ici aucune fonction arbitraire, à cause des valeurs indéterminées de et Ainsi l’équation dont il s’agit sera satisfaite par ces valeurs
lesquelles étant ensuite substituées dans l’équation de la densité du même no 5, ainsi que dans les deux équations du no 9, on aura de nouveau trois équations entre les inconnues et les variables et la Théorie du mouvement des fluides incompressibles sera réduite à l’intégration de ces équations ; mais cette intégration surpasse aussi les forces de l’analyse.
14. Considérons présentement l’équation générale de la pression trouvée dans le no 7, et voyons si cette équation n’est pas susceptible en elle-même de quelque simplification.
Nous supposerons ici que la densité soit ou constante, ou simplement proportionnelle à une fonction, quelconque de la pression ce qui est le cas de tous les fluides connus, tant qu’on y fait abstraction de la chaleur.
Nous supposerons de plus que les forces accélératrices du fluide soient telles, que
soit une différentielle complète ; ce qui a lieu, en général, lorsque ces forces viennent d’une ou de plusieurs attractions proportionnelles à des fonctions quelconques des distances.
De cette manière, si l’on fait