Page:Joseph Louis de Lagrange - Œuvres, Tome 3.djvu/657

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

auxquels les coordonnées sont supposées parallèles, sont nommant donc ces demi-axes on aura

et désignant par la distance du point attiré au centre du sphéroïde, distance que nous avons nommée plus haut on aura (1)

donc, substituant ces valeurs dans les formules du no 2, on aura

donc, si l’on nomme de même les trois demi-axes correspondants du sphéroïde représenté par l’équation

et qui sont on aura, en substituant les valeurs précédentes de

Donc, si l’on a un sphéroïde elliptique dont les trois demi-axes soient l’attraction de ce sphéroïde sur un point placé dans le prolongement d’un de ces axes comme à la distance du centre, sera égale à l’attraction qu’un autre sphéroïde dont les trois demi-axes seraient exercerait sur un point placé à l’extrémité du demi-axe