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quantités constantes, ce n’a été que pour plus de simplicité et parce que cette supposition était suffisante pour notre objet ; car d’ailleurs, si l’on voulait regarder ces quantités comme variables, il n’y aurait qu’à employer, au lieu des équations

celles-ci

et ensuite avoir égard à la variabilité des coefficients

dans la différentiation des valeurs de on trouverait ainsi des formules analogues à celles du Corollaire cité, et qui pourraient être utiles dans quelques occasions.

7. Remarque III. — Si dans les équations du no 2 on suppose

et

on aura

de là on aura (3)

savoir