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Lagrange aux citoyens administrateurs du département de Paris. — Paris, 26 prairial an ii
En réponse à l’avis qui lui est demandé sur un mauvais Mémoire du citoyen Guyard, il avoue qu’il n’y entend rien.
Lagrange à …. — Paris, 10 germinal an iii
Note autobiographique qui lui a été demandée.
Lagrange à Mlle Sophie Germain. — Paris, 17 germinal
Fixation d’un rendez-vous.
De Saluces à Lagrange. – Turin, septembre 1796
Ils sont séparés depuis trente ans et, depuis dix ans, il n’a pas reçu directement de ses nouvelles. Il a aujourd’hui une grande joie par la nomination, comme ambassadeur près de la République, de son neveu, le comte de Balbo, qu’il lui recommande et dont il fait le plus grand éloge. Il a chargé le comte de lui remettre le premier Recueil des poésies de sa fille (Dieudonnée de Saluces). — Compliments et amitiés.
Lagrange à l’Administration du département de la Seine. — 7 ventôse an vi
Rapport, au nom du jury d’instruction publique pour les écoles centrales, proposant pour professeurs les citoyens la Romiguière et Coquebert.
Grüson à Lagrange. — Berlin, 14 juillet 1798
Il lui envoie la liste des fautes d’impression qu’il a relevées dans la Théorie des fonctions analytiques de Lagrange ; il y ajoute quelques doutes sur la déduction de la quadrature de la surface d’un corps rond.
Fossombroni à Lagrange. — Florence, 14 septembre 1798
Lettre d’introduction pour M. Fabbroni, envoyé par Son Altesse Royale à Paris afin d’étudier l’unité des poids et mesures.
Lagrange à Lagarde. — Paris, 23 nivôse an ix
Affaires de librairie. Il le remercie de ses différents cadeaux et, entre autres, de l’Ouvrage de Denina sur le Piémont. Sa femme, qui le remercie à son tour du beau roman de Mme de Genlis, envoie à Mme Lagarde un bonnet d’hiver en turban suivant la dernière mode. Il y a joint des graines de chanvre de la Chine, à lui remises par M. Thouin. Il n’a pas une trop bonne idée de la seconde Partie de l’Histoire des Mathématiques de Montucla qui est sous presse, par suite de l’insuffisance de l’éditeur Lalande. — Geschichte der Mathematik, de Kaestner. — Il a eu grand plaisir à voir M. de Lucchesini, ambassadeur de Prusse à Paris.
Rohde à Lagrange. – Potsdam, 3 avril 1803
Il lui envoie des corrections pour un Ouvrage imprimé dont il a fait hommage à l’Institut national.
Lagrange à Gauss. — Paris, 31 mai 1804
Il s’excuse de n’avoir pas répondu plus tôt à l’honneur qu’il lui avait fait en le choisissant pour son correspondant. Ses Disquisitiones l’ont mis tout de suite au rang des premiers géomètres. Il a lu, au Bureau des Longitudes et à l’Institut, les articles de sa Lettre qui contenaient les éléments de la nouvelle planète, et ses deux théorèmes d’Arithmétique, qui lui paraissent aussi beaux que difficiles à démontrer. On vient de traduire en français ses Disquisitiones.