Page:Joseph Louis de Lagrange - Œuvres, Tome 11.djvu/315

Cette page a été validée par deux contributeurs.
297
SECONDE PARTIE. — SECTION III.

on aura, après avoir divisé par ces trois-ci :

Si l’on ajoute ces trois équations ensemble, après, avoir multiplié la première par la deuxième par la troisième par on a l’équation

laquelle donne

ou bien

Nous verrons plus bas (art. 38) que la quantité

qui est la même chose que

exprime la force vive du corps, laquelle ne peut jamais être nulle tant que le corps est en mouvement.

Il faut donc supposer en général

et, par conséquent, la vitesse de rotation constante. Alors les trois équations ci-dessus se réduisent à deux, qui donnent les rapports des et, comme on a

ces rapports suffiront pour déterminer les trois cosinus.