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XVIII
AVERTISSEMENT DE LA DEUXIÈME ÉDITION

Enfin la sixième Section, qui est la dernière de ce Volume, et qui répond au paragraphe premier de la cinquième Section de l’édition précédente, est augmentée de différentes remarques, et surtout de la solution de quelques problèmes sur les oscillations très petites des corps ; elle est terminée par la théorie des cordes vibrantes, que j’avais donnée dans le premier Volume des Mémoires de Turin, et qui est présentée ici d’une manière plus simple et à l’abri des objections que d’Alembert avait faites contre cette théorie, dans le premier Volume de ses Opuscules.

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