en dissentiment avec quelques savants que je respecte à de si justes titres ; mais je me trouverai amplement récompensé de mes efforts si je parviens à faire comprendre aux cultivateurs que toutes les sciences qui ont pour objet l’étude de la nature se tiennent pour ainsi dire par la main, et ne peuvent se passer les unes des autres, et que l’agriculture, celte base de la prospérité publique, deviendra une véritable science quand ceux qui la pratiquent sauront éclairer leur expérience des lumières de l’anatomie et de la physiologie.
J’ai placé à la fin de mon travail la liste des auteurs qui ont écrit sur la maladie des pommes de terre ; j’ai indiqué le titre de leurs Notices et le nom du journal dans lequel elles ont été insérées, de manière à faciliter plus tard toutes les recherches sur cet important sujet.