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des parties aériennes

dition de distinguer ce qui est du ressort de la chimie de ce qui appartient à la botanique.

Il est difficile d’obtenir des utricules intactes lorsqu’on les désagrège par une trituration sous l’eau. Ce mode de préparation suffirait pour expliquer la présence de larges lambeaux et celle des filaments à la surface des utricules, mais il y en a deux autres qui tendent encore, selon moi, à mettre en relief le réseau interne et la production des lignes entrecroisées qu’on remarque sur les utricules soumises au même traitement et sur lesquelles* j’ai déjà appelé l’attention.

Mais je me verrais dans l’obligation d’entamer ici une discussion spéciale, trop en dehors du sujet essentiel, aux yeux du cultivateur.

On me pardonnera d’insister avec quelques détails sur cette question que personne n’a, je pense, encore traitée.

D’après les expériences de M. Stas, la matière brune serait formée, en grande partie, par de l’albumine coagulée à laquelle viendrait s’ajouter une substance colorante que je rapporte à Fulmine.

Ces expériences ont toujours été faites comparativement sur des tubercules sains et sur des tubercules malades de la variété dite jaune de Hollande.

Cette matière granuleuse ayant été considérée comme un champignon, nous avons dû re-