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TABLE DES MATIÈRES


Pages.
181. 
Son intégration 
 437
182. 
Conséquences relatives aux vitesses de propagation d’une onde isolée, d’un remous indéfini, d’un gonflement ascendant produit par l’abaissement d’une vanne, etc. 
 438
183  
et 184. Conséquences relatives à la forme des ondes. Leur décroissement incessant de hauteur, confirmé par expérience 
 442
 
Sur une forme particulière d’intumescence continue, qui est moins instable (note) 
 443
§ xxxvii. — mise en compte de l’influence des frottements et de la pente du fond sur la propagation des ondes et des remous
185  
et 185 bis. Calcul du terme qui représente ces influences dans les équations différentielles du mouvement 
 448
186. 
Intégration de ces équations 
 450
187. 
Modifications éprouvées par les vitesses de propagation 
 451
187  
bis. Concavité des longs remous positifs, confirmée par l’expérience, etc. 
 453
188. 
Intégrale malheureusement compliquée qui représente sous forme finie, aux diverses époques, la surface libre des longs remous de courbure insensible 
 453
189. 
Formule des vitesses que prennent les molécules fluides au passage d’une onde ; explication de certaines circonstances observées par M. Partiot, etc. 
 455
189  
bis. Calcul des déformations successives éprouvées par des marées fluviales d’une hauteur médiocre 
 457
§ xxxviii. — des lois dont dépendent, à une deuxième approximation, les remous de petite courbure propagés le long d’un canal prismatique non rectangulaire.
190. 
Influencé des variations de la largeur à fleur d’eau sur les vitesses de propagation 
 465
190  
bis. Influence des mômes variations sur la vitesse effective que prennent les molécules fluides 
 468
§ xxxix. — du régime quasi-permanent des cours d’eau.
191. 
Calcul des variations lentes de régime. Première approximation 
 470
191  
bis. Comparaison des vitesses avec lesquelles se transmettent différentes valeurs du débit Q aux vitesses effectives de la masse fluide et aux célérités de propagation des éléments d’une crue 
 476
192. 
Deuxième approximation. Les débits sont plus grands, pour même profondeur de la masse liquide, quand le cours d’eau est en crue que lorsqu’il est en décroissance 
 480
192  
bis. Dénivellations dans le sens transversal. Remarque sur les marées fluviales 
 485