Veux-tu boire, Français ? Voici pour toi, avec un… La peste soit de son hoquet d’ivrogne !
Grand merci, monsieur[1].
Pilia-Borsa, dis au musicien de me donner le bouquet qu’il porte à son chapeau.
Coquin, donnez votre bouquet à ma maîtresse.
À votre commandement, madame[2].
O mon Ithamore, comme ces fleurs embaument !
Telle mon haleine, cher cœur ! Il n’y a pas de violettes qui puissent lutter avec elle !
Pouah ! Ça sent la rose-trémière.
Me voilà vengé ! Le parfum du bouquet donne la mort. Les fleurs sont empoisonnées !
Joue, ou je fais des cordes à viole de tes boyaux !
Pardonnez-moi[3]. Je m’accorde. M’y voici.
Donne-lui une couronne, et reverse-moi du vin.
Prends ces deux couronnes et joue.
Avec quelle libéralité les drôles disposent de mon argent !
Il me semble qu’il a de bons doigts.
Comme eux quand ils me volent mon argent !
Quel jeu rapide !
Son jeu est plus rapide quand il jette mon or par la fenêtre !