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qui voudra les voir, les deux manuscrits de ces deux romans, d’une écriture identique et conforme aux lettres qu’il reçoit souvent de l’auteur. Et ce que M. Buloz peut affirmer, c’est que l’auteur de ces deux romans n’est pas Mme de Bernis, qu’il n’a jamais eu l’occasion de voir.

J’eus l’occasion de rencontrer M. Michel Lévy, qui voulut bien me communiquer plusieurs lettres d’affaires relatives aux droits d’auteur, l’une, écrite d’abord au crayon et ensuite repassée à l’encre pour dissimuler l’écriture, était signée P. Albane, comme le manuscrit déposé à la Revue. Les autres étaient signées Girard, à Toulon, et Cassin, à Vaugirard, mandataires pour toucher les droits. M. Michel Lévy m’affirma qu’il ne connaissait pas le nom de l’auteur du Péché de Madeleine et de Flamen.

Enfin, M. Buloz ne démentit pas l’affirmation émise par le Figaro.


Vicomte d’Albens. — Camille Bernard. — Baron Stock. — Mme de Rute.

Marie Studolmine, fille de sir Thomas Wyse, décédé ministre d’Angleterre à Athènes, et de Lætizia Bonaparte, fille de Lucien Bonaparte, épousa, en décembre 1848, le comte Frédéric de Solms, et se remaria, en février 1863, avec M. Urbain Rattazzi, ministre d’Italie.


André Léo. — Mme  Champseix.

Nous détachons du Dictionnaire des Contemporaines les lignes suivantes de Tony Revillon :

André Léo. — André est le nom d’un enfant, Léo, celui d’un autre. C’est une mère de famille qui signe ses livres