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échalote et ses amants


vait compatir aux gémissements de ses amants sans les craindre.

Deux mois plus tard, par un matin de printemps où les commères fleurissaient sur le pas des portes, elle convolait en justes et sanctifiées noces avec l’élu de son cœur atrophié.

Ce fut une belle cérémonie. L’arrière-ban des relations de Victor et ses amies de la Butte furent de la noce, du banquet et de la soirée dansante. On sua moult lanciers, on se partagea la jarretière, et l’oranger de la mariée vint se ternir, au petit jour, dans les

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