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ÉCHALOTE CONTINUE…

marchands de vins de la rue Lepic : L’Escargot sympathique, Le Rendez-vous des Aristos, et d’un établissement de la rue des Abbesses, La Kasbah, où les patrons débonnaires autorisaient le décorticage des crevettes et des bigorneaux apportés dans un cornet de papier, et vous servaient soit un tord-boyau de derrière les fagots, soit un petit bleu qui vous fichait la colique avec plus de rapidité que la magnésie anglaise.

M. Plusch désignait ces orgies sous le nom de ribouldingues à la flan. Toutefois, elles le satisfaisaient les semaines de dèche, et il lui arrivait de rencontrer chez ces bistrots des individus, mâles ou femelles, qui n’étaient point piqués des vers.

Une nuit, à la Kasbah, il fit, d’une façon assez singulière, la connaissance d’une odalisque encore jeunette. Cette petite s’était égarée là, entraînée par un amoureux de rencontre et sans se douter que le propriétaire de l’endroit passait, avec plus ou moins de raison, pour diriger une entreprise de traite des blanches.

Sur un signe du chevalier cicérone, ledit propriétaire vint lui-même prendre la commande de la nouvelle venue et, après lui avoir fait servir

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