Page:Jeanne-Landre-Echalote continue 1910.djvu/57

Cette page a été validée par deux contributeurs.
promenade sentimentale

— Comment ! — fit M. Dutal, plus blessé de ces mots que de son indisposition, — tu vas me laisser seul ici ?

— Que voulez-vous, mon Adhémar, — objecta Échalote, — le bon Dieu m’est témoin que je vous suis attachée comme la puce aux poils des chiens, mais, hélas ! c’est une affaire de tempérament, s’ pas, les malades, moi, ça me dégoûte.