croyance
Que tu dois conserver, de ma persévérance ;
Je ne m'oppose point, au bonheur qui t'est dû,
Possédant cet objet, je te l'aurais rendu,
En faveur du beau feu qui t'a l'âme enflammée,
Je la dégagerais du milieu d'une armée :
Je romprais des prisons, je l'ôterais des fers,
Et je la tirerais du profond des enfers.
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Comme un faible moyen, rabat son arrogance,
Adieu, fais rire ailleurs, de ton extravagance.
C'est trop perdre de temps, à l'entretien des fous,
Valence offre à nos vœux des passe-temps plus doux,
Allons y célébrer ces heureux hyménées,
Qui de biens infinis vont combler nos années.
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Adieu terreur du monde.
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Adieu race des Dieux !
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Adieu divin charmeur des âmes et des yeux.
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Adieu le plus vaillant de la terre et de l'onde.
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Adieu le plus grand fou qui soit en tout le monde.
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Nous voilà grands seigneurs.
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Suis-les, atteins ses gens
Ma vengeance dépend de tes pas diligents :