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et de réformes civiles, mais nullement dans son essor de liberté. De là, il se dessaisit d’une arme, terrible : la propagande libérale et républicaine. Dès lors les peuples appelés par lui à secouer le joug ne sentaient plus que la honte de la défaite et l’aiguillon de la vengeance. »
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/d/d9/Jaures-Histoire_Socialiste-6-p341.jpg/400px-Jaures-Histoire_Socialiste-6-p341.jpg)
Entrée triomphante des Français dans la Ville de Madrid.
(D’après un document de la Bibliothèque Nationale.)
(D’après un document de la Bibliothèque Nationale.)
Jamais, en effet, les Espagnols ne consentirent à considérer Napoléon comme une manière de libérateur venu pour détruire la monarchie absolue ; avec une singulière perspicacité, ils l’accusèrent dès le début de vouloir seu-