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denrées n’étaient point chères alors, disaient-ils, et comme les armées appelaient beaucoup d’hommes, tous les ouvriers qui restaient étaient occupés. »

Faïences patriotiques nivernaises (1792).
(D’après les Faïences patriotiques nivernaises par MM Fieffé et Bouveault, reproduit avec l’autorisation des auteurs.)


Cela paraît en contradiction violente avec la crise certaine traversée par Lyon à la fin de 1792.

Il est probable que quand l’impossibilité absolue de remédier au chômage