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possible au Conseil les observations qu’ils jugeront nécessaires, surtout celles qui tendront à concilier encore plus, s’il est possible, pour le plus grand bien des fidèles,


Faïences patriotiques nivernaises (1792).

(D’après les Faïences patriotiques nivernaises par MM. Fieffé et Bouveault, reproduit avec l’autorisation des auteurs.)



les lois de la République chrétienne avec celles de la République française, qui, au fond, ne peuvent jamais se contredire, puisqu’elles