« Dîné chez le comte de Mercy. Il me dit qu’il fallait beaucoup de sévérité, et qu’il n’y avait que ce moyen, qu’il fallait mettre le feu aux quatre coins de Paris. »
De Bruxelles, le 11 septembre, Fersen écrit au baron de Breteuil : « D’après ce que me disent les personnes qui viennent de l’armée sur la mauvaise disposition du pays conquis et surtout des villes, il semble qu’ils ne font que céder à la force et dans ce cas la clémence me paraît extrêmement pernicieuse. C’est le moment de détruire les jacobins ; vous pensez sans doute qu’il ne faut pas les manquer, et qu’il faudrait arrêter les chefs et les principaux membres de cette société dans tous les endroits où l’on passe et les renvoyer sur les derrières » où, sans doute, ils seraient fusillés ou bien pendus. De Verdun, le 12 septembre, le baron de Breteuil écrit à Fersen :
« Je ne me suis pas épargné pour faire sentir à M. le duc de Brunswick la nécessité d’une grande sévérité, mais son caractère est doux et ses prin-