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« Après leur avoir fait sentir que les troubles portés au commerce, loin de produire l’effet de diminuer les prix, ne pouvaient que les augmenter ; nous leur dîmes qu’il n’était pas en notre pouvoir de taxer les marchandises ; que, s’ils avaient des représentations à faire, la loi leur ouvrait un moyen paisible et digne d’hommes libres, celui de la pétition, qu’ils pouvaient s’assembler tranquillement et dresser leurs griefs. »

L’Épicier-Droguiste du Château.
(D’après une estampe du Musée Carnavalet.)