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tout ce qu’ils avoient reçû en argent ou en vivres ; qu’après l’offrande, ils mettoient ces derniers à l’enchere, & que le provenu en étoit destiné à des pieux usages. Les vers qu’on y chantait, varioient selon le goût d’un chacun, ils étoient composés en langue vulgaire, c’est ainsi que Vinet nous assûre en avoir entendu de la composition de Merlin de St. Gelais : Vinetus in Ausonii Professores. Sect. 145.
Si les erreurs du Paganisme subsisterent longtems en beaucoup d’en-