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pleins de la Divinité qui les animoit, la perte de leur sexe leur procuroit quelque chose de divin.
Mais si cela étoit, nous peut-on objecter, il paroîtroit de la contradiction dans les actions des Gaulois, nous avons dit plus haut qu’ils avoient en horreur les Galles, mais comment auroient-ils pû les haïr, si leur religion les engageoit à respecter en eux quelque chose de divin.
Je réponds à cela, que l’horreur des Gaulois pour les Galles, n’alloit pas jusqu’à mépriser les mouve-