étrangères propres à remédier à l’insuffisance de son pelage.
Il est rare qu’il porte ces fourrures dérobées un très grand nombre de soirées de suite. Ajoutons qu’outre les barbes artificielles, il s’emmitoufle aussi de vêtements empruntés.
Le Cabot ne sortant de sa bauge ou de sa loge que pendant l’hiver et à des heures tardives de la nuit, il n’est pas étonnant qu’il soit frileux.
Il projette devant lui à ces heures-là, à l’instar du ver-luisant, une lumière qui l’éclaire par en bas. De même aussi que chez le lampyre, ce sont les femelles qui donnent le plus d’éclat.
Cette lumière pâle, de nature électrique, rayonne peu de chaleur. Aussi certains cabots de la grosse espèce, industrieusement, se chauffent-ils au moyen de troncs d’arbre fendus dans leur longueur et divisés en voliges.
C’est ce que le Cabot appelle, en son gazouillis, brûler les planches.
PENSÉES HIPPIQUES
Victor Hugo a écrit, dans Notre-Dame de Paris : « Sans le cheval, point d’homme. »
Si la femme cherche dans l’homme la bête, le cheval a ceci de bon, qu’il est une très grosse bête.