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SPÉCULATIONS

du Fin-de-Siècle, et une foule de publications plus que frivoles, dont quelques-unes de contrebande belge.

Voilà qui illumine certains actes, jusqu’à ce jour inexplicables, de la police, et singulièrement ceux qui causèrent la mort du héros de ce fait-divers. Il voulut, si nous nous souvenons bien, arrêter pour excès de vitesse un fiacre qui était stationnaire, et le cocher ne put obéir, logiquement, qu’en faisant reculer son véhicule. D’où chute dangereuse de l’agent qui se tenait derrière. Il reprit néanmoins ses forces après quelques jours de repos, mais, sommé de reprendre pareillement son service, mourut aussitôt.

La responsabilité de ces événements, incombe sans contredit à l’incurie de l’administration policière. Qu’elle surveille mieux à l’avenir la composition des lobes cérébraux de ses agents : qu’elle la vérifie au besoin par la trépanation avant toute nomination définitive ; que l’expertise médico-légale ne rencontre désormais dans leurs crânes que… Nous ne dirons point une collection de La Revue blanche et du Cri de Paris, ce serait prématuré dès cette première réforme ; ni nos œuvres complètes, notre modestie naturelle s’y refuse, d’autant que des agents, chargés de veiller sur le repos des citoyens la tête ainsi garnie, constitueraient un danger public. Voici les quel-