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Père Ubu (commençant à se réveiller).
Attrapez la Mère Ubu, coupez les oneilles !
Mère Ubu
Ah ! Dieu ! Où suis-je ? Je perds la tête. Ah ! non, Seigneur !
Grâce au ciel j’entrevoi
Monsieur le Père Ubu qui dort auprès de moi.
Monsieur le Père Ubu qui dort auprès de moi.
Faisons la gentille. Eh bien, mon gros bonhomme, as-tu bien dormi ?
Père Ubu
Fort mal ! Il était bien dur cet ours ! Combat des voraces contre les coriaces, mais les voraces ont complètement mangé et dévoré les coriaces, comme vous le verrez quand il fera jour : entendez-vous, nobles Palotins !
Mère Ubu
Qu’est-ce qu’il bafouille ? Il est encore plus bête que quand il est parti. À qui en a-t-il ?
Père Ubu
Cotice, Pile, répondez-moi, sac à merdre !